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Au XIX ème siècle, la langue parlée était le Provençal qui désigne l'ensemble des dialectes de langue d'oc dérivés du latin et parlés à l'est du Rhône |
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Peyresq - Milieu naturel
Faune
S'il est particulièrement silencieux et observateur, le-la randonneur-se peyrescan-e ne manquera pas de croiser la route de nombreuses marmottes et, avec un peu de chance, celle de lun ou lautre chamois. Les marmottes, quon rencontre à partir de 1800m daltitude, sont les sentinelles de la montagne. Dun cri strident, elles avertissent leurs compagnes de l'arrivée d'intrus. Elles sont particulièrement nombreuses dans la vallée de la Lance et dans le parc du Mercantour. On trouvera surtout les chamois sur les falaises et les barres rocheuses du Courradour ou du Grand Coyer mais aussi dans le parc du Mercantour (sur le Mont Pelat par exemple).
Les forêts de la région regorgent de lièvres, de renards, de sangliers et de chevreuils. Les blaireaux sont rares. Les loups et les hermines ont malheureusement disparu depuis belle lurette.
| La tranhumance
(Voir référence) |
| En été, on trouve bien-sûr dans la région de nombreux papillons, mais aussi des hoche-queue, des mésanges, des martinets, des coucous et des alouettes. Laigle-royal, encore présent vers 1950, a aujourdhui quasiment disparu.
Enfin, les moutons sont nombreux à fouler le sol peyrescan lors de la transhumance (déf.).
Les vipères étaient autrefois assez nombreuses. Les villageois sen prémunissaient en portant des chaussures hautes et en se promenant avec un bâton en bois de buis. Actuellement, on nen trouve plus guère dans la région (prévoir un aspi-venin dans son sac de randonnées n'est cependant pas un luxe inutile). Par contre, dans certaines maisons, de malchanceux-ses Peyrescan-e-s se sont encore récemment trouvé-e-s nez à nez avec un scorpion. Leur piqûre nest pas mortelle,
mais méchante tout de même. |
Texte : CĂ©cile Colin
Renseignements complémentaires : ccolin@ulb.ac.be
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