Vie traditionnelle Vie active Métiers
|
Peyresq - Vie traditionnelle Vie active : Métiers Lors du recensement de 1851, Peyresq comprenait un berger, un travailleur aux champs, deux maçons, un maçon-menuisier, un forgeron-maréchal ferrant (la forge se trouvait dans la maison ayant appartenu à Lucie Imbert ; elle souvrait dans la rue de la Forge), un meunier (qui habitait dans lactuelle maison Da Vinci), un tondeur, un tailleur, un cordeur, un scieur, un instituteur, un fossoyeur, une seule domestique et un gargotier. Une auberge (actuellement maison Thyl Uylenspiegel) souvrait sur la rue Grand Boune entre la rue Tra-le-Four et la Traverse jusquà la fin du XIX ème siècle. Elle possédait un puits intérieur que la maison actuelle a conservé. Plus tard, les registres mentionnent un cantonnier (qui vivait dans lactuelle maison Gassendi) et un cordonnier (qui occupait lactuelle maison Evariste Galois). Après la première guerre mondiale, une buvette est installée au village (actuelle maison Salmon). Le tenancier fabriquait du vin avec des baies de sureau. Au cours de la première moitié du XX ème siècle, Joseph Lambot, le facteur du village était une figure connue et unanimement appréciée dans la région. Il faisait Peyresq-La Colle-Thorame-La Fleur tous les jours à pieds (+- 20 km AR). Il déposait et prenait le courrier à La Fleur. En hiver, il faisait le trajet à ski.
Premier mai ou 21 juillet
Le défilé du "1er mai"
|
||
|
Date de dernière mise à jour |